Le Sommet des Jeunes Adultes Seuls

Le Sommet des Jeunes Adultes Seuls

Le sommet  des jeunes adultes seuls

Huit cent cinquante jeunes adultes seuls de la région de Greater Accra se sont réunis au campus de Legon à l’université du Ghana le 12 et 13 juillet pour le premier sommet annuel de  jeunes adultes seuls. L’enthousiasme et les attentes étaient grands quand le jour est finalement arrivé après de nombreux mois de planification et de préparation. La présidence de l’Interrégion d’Afrique de l’ouest a annoncé que chaque conseil de coordination dans les 7 pays d’Afrique de l’ouest tiendra un sommet pour les jeunes adultes seuls annuellement. Les programmes  pilotes de 2013 ont été tenus à Accra et en Côte d’ivoire. Des plans sont en cours, ou le seront bientôt dans tous les autres conseils de coordination pour l’année 2014.

Qu’est-ce qu’un sommet ? Et qu’est ce qu’il peut faire pour les jeunes adultes seuls ?

« Le sommet peut être une expérience transformatrice de vie. C’est le moment pour les jeunes adultes seuls de plusieurs pieux et districts de fuir leur de leur routine quotidienne et de rentrer dans un monde dévoué à renforcer nos liens de frères et sœurs dans l’évangile. A un sommet les jeunes seuls ont l’opportunité de : 1) développer leur spiritualité ; 2) Faire des rencontres et s’amuser dans différents cadres ; 3) Participer aux efforts de rétention et de réactivation ;  4) développer des qualités de dirigeant et des opportunités de servir ».

Le thème du sommet de cette année à Accra était « soit fort et courageux ». Les participants arrivèrent, furent enregistrés et reçus leurs badges. Après la réunion d’orientation tôt l’après-midi, les douze groupes commencèrent leurs ateliers et activités. Pendant que six groupes participaient à des ateliers les autres six groupes se sont rassemblés à des « postes de jeux » pour des activités comme panier de fruit, alphabet, empilage sportif, spaghettis prêts, nommer la chanson, la course avec citrons et cuillères, Hagoo, candelier , ainsi de suite.

Une jeune sœur Marlene a

Acquaye commenta, « le panier de fruit était mon jeu préféré ! Nous devions écouter et prêter attention. Nous étions impatients de nous mouvoir, courant partout. Cela nous impliquait vraiment et je l’ai aimé ! »  « Les jeux étaient instructifs et amusants. La dernière personne debout était formidable car comme nous assortissions les phrases c’était inventif et vraiment amusant ! »Dit Dansoa twum-danso. Roberta avedzidah a aussi aimé le jeu et si ? « Quelque fois il semblait que nous lisions les uns dans les pensées des autres. »

 Les instructeurs des ateliers étaient deux soixante-dix d’Interrégion – Elder John Koranteng et Elder Daniel Yirenya – Tawiah aussi bien que Raymond Egbo, directeur régional du S&I. Se concentrant sur le thème du sommet, ils discoururent sur les sujets. «  Force morale et courage », «  faire face à la peur, aux faiblesses et à la déception », et «  bras de puissance – le seigneur est ma force ».

Charles Mensah était particulièrement impressionné par l’histoire vrai d’un jeune homme qui après un accident tragique a eu à faire face à ces limitations physiques et au faite que sa femme décida de ne pas rester avec lui. L’homme persévéra,  trouva des buts à atteindre dans sa vie et poursuivit des avenues pour développer des talents et se prendre en charge. Le message ? Charles dit, « quand la malchance nous arrive, comment réagir ? Comment acceptons-nous ces challenges et continuons dans la foi ? »Nesmeekia Engmann  partagea certains principes qu’elle a appris. « Nous devons construire nos vies sur les choses de grande valeur ; Rester fidèle à notre valeur morale et avoir le courage moral de dire NON. Nous devons avoir une bonne définition de nous-mêmes  et notre vision devrait être celle des éternités. Nous devons investir dans les choses qui béniront nos vies à long terme. »

A la suite des activités de vendredi après-midi et le dîner les jeunes seuls ont été gratifiés d’un soir animé de prestations de talents de beaucoup de leurs pairs qui étaient précédemment passés à l’audition et avaient fait des répétitions.

Pendant tout le matin du samedi, des groupes continuèrent de faire la rotation des ateliers et jeux après laquelle un délicieux déjeuner fut servi.

Elder Joseph S. Sitati, un membre du collège des soixante-dix et membre de la présidence de l’Interrégion d’Afrique de l’ouest était le discoureur dominant à la fin de la réunion spirituelle du samedi après-midi. La chorale de BYU-Idaho Pathway a pourvu la musique de prélude. Ils ont aussi fait la prestation de l’hymne national du Ghana, et chantèrent l’hymne national du Kenya pour rendre hommage à Elder Sitati. Elder Sitati remarqua qu’il fut touché de l’entendre. Elder Sitati donna des conseils très sages à ceux qui étaient présents. Lisant les écritures, il cita Mathieu 7 :7-8 «  Demandez, et  l’on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l’on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l’on ouvre à celui qui frappe. »

 Ensuite, Elder Sitati conseilla, «  ce que je vous dis n’est pas juste une bonne idée. Il ne vient pas de l’un des livres sur l’amélioration personnelle. C’est ce que le seigneur lui-même nous a promis. Donc, je vous dis, définissez votre vision de ce que vous voulez être. Sachez et comprenez ce que vous recherchez dans la vie. Car si vous ne savez pas ce que vous cherchez, vous ne saurez pas quand vous le trouvez. Si vous savez ce que vous cherchez le seigneur  dit que vous le trouverez. Un autre sujet important dont  parla Elder Sitati était la gestion du temps. Il fit remarquer le merveilleux programme qu’on enseignait aux missionnaires et qu’ils utilisaient. Il dit, «  ce n’est pas juste un programme pour vos deux ans de service missionnaire. C’est un programme pour la vie. » Il conseilla aux missionnaires revenus à la maison ou de retour de leur mission, de ne pas se débarrasser du livre  pour ne plus utiliser le programme. A ceux qui n’ont pas servi ou qui ne seront pas capables de servir une mission il donna le conseil d’étudier la gestion du temps, de  planifier. Utilisez chaque heure de manière efficace, allez à la maison et changez. Faites très bon usage de votre temps car c’est quelque chose que l’on ne vous rendra jamais ».

Pour résumer l’expérience totale du sommet, Ernest Gyampo dit, « j’ai découvert le secret du changement. Comme nous sommes venus ensemble en tant que jeunes adultes seuls de différents pieux et districts pour apprendre et échanger les uns avec les autres- que nous devons concentrer toute notre énergie, non à lutter contre les anciennes traditions, mais pour faire avancer de nouvelles idées sociales et spirituelles des frères. En tant que jeunes adultes seuls, nous pouvons toujours allumer la lumière si nous croyons que nous en avons à l’intérieur de nous »